Lorsqu’on parle du Tibet, on parle souvent de la répression sanglante qui y règne de façon ponctuelle, lorsque Pékin décide de taper du point. Mais pas que. Au début du mois d’Octobre, deux ex-moines âgés de 18 et 19 ans ont choisi de s’immoler par le feu pour dénoncer l’occupation Chinoise.
J’ai le souvenir d’avoir évoqué à quelques reprises la situation politique locale avec des chinois rencontrés au cours de mes études. Je me souviens à quel point ils étaient fermés sur la question de l’indépendance de cette région isolée. Le côté extrêmement délicat de la chose nous amenant souvent à clore rapidement les débats, je me suis souvent senti frustré au point de poursuivre la discussion avec des amis résidant en Chine.
Aujourd’hui, il est important de faire passer un message alors rendons hommage à la beauté de ce peuple qui se bat avec dignité pour défendre ses terres, pensées et traditions. Dans un premier temps en refusant de répertorier ce billet dans la catégorie Chine. Dans un second temps, en hurlant « Free Tibet » tous ensemble !
5 réponses à “Friday Travel Break #42 : Tibet”
Merci Romain pour ces biens belles images. La première vidéo donne vraiment envie de voyager !
Cela à l’air d’être un pays et un peuple magnifique. Je trouve vraiment dramatique le fait que de nombreux pays comme le Tibet se trouvent limités en droit à une époque telle que la notre.
J’espère pour eux que la situation finira par se débloquer.
Chloé
[…] et après le Friday Travel Break engagé de la semaine dernière, l’heure est venue d’aller faire une petite ballade en Turquie, ce pays aux multiples […]
@ Julien : Superbes paysages, c’est certain que ça laisse rêveur !
@ Chloé : Seul l’avenir nous le dira. Il faut continuer à espérer que la communauté internationale pousse la Chine vers une issue pacifique…Vaste problème.
[…] Vous venez de finir vos études ? On dira ce qu’on en veut, un tour du monde apporte bien plus réalisé à 20 ans qu’à 60 ans. Ne l’oubliez pas et si c’est vraiment votre rêve, sachez prendre l’initiative de dégager le temps nécessaire. On a qu’une seule vie (sauf ici). […]